25ème Mercredi d'AgiSens : L'écomobilité !

Voitures, vélos, bus, piétons... Quelle cohabitation possible ?

MERCREDI 4 AVRIL - 18h/20h

Maison des Associations de Chambéry

67 rue St François de Sales

 

De plus en plus, nos villes sont saturées, bouchons, places de parking prises... quelles solutions trouver, comment innover dans ce domaine ??

Deux initiatives mises à l'honneur aujourd'hui avec L'agence Ecomobilité de Chambéry et Citiz Alpes-Loire. 

Nicolas Mercat, Vice-Président de l'agence écomobilité de Savoie Mont-Blanc présente les différentes actions sur l'agglomération...

Des idées, du résultat et une partie sociale intéressante !

Martin Lesage, directeur de Citiz Alpes-Loire

Martin Lesage, Directeur de Citiz Alpes-Loire, et Ahmed, responsable de la flotte Savoie et Haute Savoie, nous présentent l'autopartage sous différentes formes !

 

 

 

Echange et conclusion :

La séance s’est terminée par un débat sur le stationnement. Il est en effet l’élément décisionnel fondamental quant au choix que fait l’automobiliste de prendre sa voiture ou non. Longtemps le stationnement sur voirie a été préconisé par les pouvoirs publics. Il s’agit d’une spécificité française que l’on considère comme allant de soi. Or, ce système est très coûteux pour une municipalité et la saturation du réseau routier ainsi que le nombre limité de place de stationnement en ville montre la limite de ce système. Il est également parfois en contradiction avec d’autres politiques de développement du réseau, notamment l’installation de pistes cyclables, et empêche la continuité des infrastructures de transport nouvelles.

 

 

 Il faudrait alors ouvrir des espaces de stationnement privés pour les particuliers le jour, et des stationnements publics pour la nuit. L’utilisation d’un vélo pour les trajets de moins de 7 kilomètres permettrait de désengorger le réseau routier de manière significative. L’auto-partage est aussi une solution au problème de stationnement : moins de voitures équivaut à plus de places disponibles. Il faut cependant garder en tête que la France ne compte à l’heure actuelle que 1000 voitures partagées contre 100 000 en Suisse (qui sont pourtant attachés à leur voiture). Le développement de ce système amènerait forcément l’amélioration des services dans la mesure où le recouvrement géographique serait plus important.